Pfizer

Voilà l’Article 5.5 contrat Pfizer/Albanie même clause que le contrat avec l’Afrique du Sud !

Efficacité 0 

Effets indésirables méconnus ! 

Des scientifiques ont découvert le virus simien 40 dans les vaccins Moderna et Pfizer, un virus provenant de cellules rénales de singe que les États-Unis ont cessé d'utiliser dans les vaccins en 1963 parce qu'il était soupçonné de provoquer le cancer. Le microbiologiste Kevin McKernan et son équipe ont également découvert un gène résistant à la cinnamycine qui pourrait immuniser votre microbiome contre les antibiotiques. Certains des contaminants de l'ADN peuvent également altérer le génome humain. Pensez-vous que les grands médias couvriront cela?

La journaliste d'investigation Sonia Elijah , ex-BBC, a découvert des documents choquants de Pfizer et BioNTech sur le vaccin contre le coronavirus. Les documents couvrent la période du 19 décembre 2021 au 18 juin 2022. 

Pfizer et BioNTech ont enregistré 3 280 décès au cours de ces sept mois. Elijah a parlé du nombre de décès d'enfants . 

De décembre 2021 à juin 2022, plus de 9600 événements indésirables ont été signalés dans le groupe des 5 à 11 ans. Surtout aux États-Unis, en Australie, aux Philippines et en Allemagne, de nombreux enfants ont souffert d'effets secondaires. 

Il y a eu 20 décès dans ce groupe d'âge. Entre autres choses, ces enfants ont subi un arrêt cardiaque ou une inflammation du muscle cardiaque. Deux enfants ont développé une myocardite peu de temps après la première ou la deuxième dose et sont ensuite décédés d'un arrêt cardiaque. 

Un garçon de 6 ans est également décédé et les documents indiquent : "Le journaliste a conclu que le décès n'était pas lié à l'administration de BNT162b2 et était une mort naturelle." Selon Elijah, cette conclusion est extrêmement étrange, puisque les résultats de l'autopsie ne sont même pas encore disponibles. 

Le garçon a développé une myocardite et est décédé une semaine après sa première dose de Pfizer. 

Dans un certain nombre de cas, Pfizer et BioNTech admettent qu'"une relation causale entre la vaccination et la mort ne peut être exclue". 

Les données des 12 à 17 ans montrent 21 945 cas d'effets secondaires, la plupart en Allemagne, suivie des Philippines et de l'Australie. Aussi effrayant : un tiers de tous les cas étaient graves. 

Il y a eu 62 décès dans ce groupe d'âge , plus de trois fois le nombre de l'autre groupe. 

Trois enfants de 13 ans sont morts d'une myocardite. Une jeune fille de 16 ans a subi une embolie pulmonaire et un arrêt cardiaque deux jours après sa troisième injection de Pfizer. Une autopsie a été pratiquée mais les résultats n'ont "pas été fournis". 

Dans la plupart des cas, aucune autopsie n'a été pratiquée. S'adressant à Clayton Morris de Redacted , le journaliste d'investigation a déclaré que c'était sans scrupules et criminel . "Il n'est pas normal que de jeunes enfants meurent d'un arrêt cardiaque ou d'une myocardite. C'est fou."

TurboCancer : Une nouvelle étude prouve que l'ARNm de Pfizer induit le turbo-cancer 

Dans une nouvelle étude belge, Sander Eens et al. ont injecté à 14 souris 2 vaccins ARNm COVID-19 de Pfizer. 2 jours après la deuxième dose de Pfizer, 1/14 souris (7 %) sont mortes subitement, atteintes d'un turbo-cancer avec infiltration de lymphomes dans de nombreux organes : foie, reins, rate, poumons et intestins. 

La souris atteinte de turbo-cancer n'avait montré aucun signe clinique de maladie avant sa mort subite. 

Il s'agit de la deuxième étude montrant un turbo-cancer après la vaccination par l'ARNm de Pfizer. 

C'est le type d'études que Pfizer et Moderna auraient dû réaliser sur des souris, mais qu'ils n'ont jamais faites. 

Point clé : Cette étude sur 14 souris est plus importante que l'étude réalisée pour approuver les injections de rappel d'ARNm bivalent COVID-19 Omicron qui ont été administrées à des centaines de millions de personnes - cette étude n'avait porté que sur 8 souris !